Marie, veuve depuis quelques mois, élève seule ses deux enfants, Jules et Léa. Elle travaille dur pour subvenir à leurs besoins, mais les fins de mois sont difficiles. Un jour, alors qu’elle rentre du travail, elle constate avec horreur que Jules, âgé de cinq ans, a disparu. Elle prévient aussitôt la police qui organise une battue pour retrouver l’enfant.Deux jours passent sans que rien ne se passe. Marie est au bord de la crise de nerfs. Elle s’inquiète pour son fils et ne sait plus quoi faire. Un voisin, M. Dubois, décide alors de l’aider. Il connaît bien la forêt qui entoure leur village et se propose de la fouiller de fond en comble.Ils partent ensemble et marchent pendant des heures sans succès. Soudain, ils entendent un bruit. C’est un petit cri, faible et plaintif, qui semble venir d’un buisson. Ils se précipitent vers le bruit et découvrent Jules, assis par terre, les yeux grands ouverts et perdus dans le vide.Marie est soulagée et embrasse son fils, mais elle est aussi en colère. Comment son enfant a-t-il pu se perdre ainsi ? Elle se tourne vers M. Dubois et lui demande comment il a fait pour le trouver. Celui-ci reste silencieux un moment avant de révéler qu’il connaissait la cachette de Jules depuis le début. En effet, le petit garçon avait décidé de se cacher pour jouer à cache-cache, mais il s’était endormi, terrifié et épuisé, dans un buisson.Marie est choquée. Comment M. Dubois a-t-il pu garder cela pour lui pendant tout ce temps ? Elle se sent trahie, mais elle est surtout soulagée que son fils ait été retrouvé. Elle rentre chez elle avec Jules, soulagée mais épuisée.Le lendemain, M. Dubois s’excuse auprès de Marie pour son silence. Il explique qu’il a agi de la sorte pour éviter de la faire paniquer davantage. Marie lui pardonne, mais elle garde tout de même un goût amer dans la bouche
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