Finis les pieds, ils me les cassent !
Pas assez pour qu’ils me tracassent…
J’arrime les mots et finies les rimes,
Ecrire en vers libres n’est pas un crime !
Révolté, je volte et virevolte avec le lexique.
L’arithmétique m’a faché avec la métrique.
Foi, ma Fleur 🌹
Foi, tige fervente aux pétales féeriques,
Lustrée de couleurs d’espérance Louable,
Embaumant l’apaisement, chassant l’Effroi,
Unissant pureté et épines Utiles,
Ravive-t-elle un printemps infini de Renaissance.
La renaissance, le renouveau !
Bonjour,
Ceci est ma première connexion à ce site.
J’ai choisi le phénix car cela me représente bien. J’aime me renouveler et je pense que la vie c’est un peu cela.
Rien n’est jamais acquis, nous devons toujours travailler sur nous et faire des constats de chaque épreuve et chaque obstacle.
Rien que de commencer à écrire ça me fait du bien.
LOLITANAKOKO
Ile de Ré
Un banc de sable suspendu sur la mer
Une Île fragile à la note unique
Où les marais et les dunes entrelacés
Dessinent de leurs embruns salés un rivage doux et discret
Le pont nous ouvre les portes
De ces ruelles singulières égayées de
Roses trémières
Murmure de vélos colorés
Clameurs du marché
Les volets verts
Dévoilent un ré de lumière dans l’espace oublié
C’est là!
Mon cœur blessé
Mon cœur blessé a rencontré entre ciel et mer
Une relation éphémère
Ni terre à terre, ni amer
Mais empreinte d’exquises saveurs et
D’une suave moiteur
Me laissant tremblante et vivante
Car cet homme troublant et hors du temps
De ses notes envoûtantes et
ses caresses enivrantes
A su raviver ce cœur blessé qui ne savait plus aimer.
Source photo.
POEME ANTINUCLEAIRE
Au creux d’une main tendue crispée
Dans la froide désolation
D’un désert aérien
Coulent de larmes
De sel et d’amertume
Et des sanglots
Aux grincements d’acier
Percent ce monde de glace
Leurs pleurs métalliques
D’une âme sans corps
Au creux des reins
Creusent des sillons humides
Et gluants, ils ruissellent
De la main tendue crispée
S’égrène le chapelet funèbre
De
Exister
Un peu naïf sans regret sans amour
Les yeux tristes et peu de vie autour
L’âme endormie et la peur comme seule labour
Une autre déception un autre virage
Toujours plus sauvage
Toujours ce regard de naufrage
De ton univers à l’envers
Un jour tu t’enfuiras
Avec le temps de ta colère
Tu te reconstruiras pour exister
La forêt de Brocéliande
La forêt de Brocéliande est un lieu magique
Où se mêlent les contes et les énigmes
On y trouve le tombeau de Merlin l’enchanteur
Et la fontaine de Barenton qui change le temps à toute heure
La forêt de Brocéliande est un lieu mystérieux
Où se cachent les fées et les chevaliers valeureux
On y voit le château du roi Arthur et de la reine Guenièvre
Et le val sans retour où règne la fée Morgane







