De Lucie l’Australopithèque à Lucie 7B l’Intelligence Artificielle
Blog
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Leanne
Leanne
Nous sommes si heureux pour vous
Que vous êtes
Vivre maintenant votre nouvelle vie
Au ciel
Sans aucune douleur
Nous prions donc pour vous
Tous les soirs avant de partir
Au lit
Ce ne sera pas facile
Pour que nous vivions ici sur terre
Sans toi
Oui, un jour où nous serons morts
Nous serons réunis au ciel
À l’heure actuelle, nous sommes encore jeunes
Et nous avons encore une vie devant nous
Vivre
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Vietnam, J’irai vivre ton rêve
Vietnam
J’irai vivre ton rêve .
Au pays des lotus j’ai vécu le bonheur
Vu un peuple pétris de courage et d’honneur
Estompé mon chagrin et élevé mon âme
Dans cette belle perle d’Asie que l’on nomme Vietnam
Tout paraissait incroyablement différent
Le ciel, la terre, les gens, rien n’était cohérent
Pourrais-je, un jour, encore vivre ces impressions
Qui ont la puissance des toutes premières sensations ?
Parti de France triste, complètement abattu
Le coeur en jachère , froid comme celui d’une statue
Causé par le départ de ma fille adorée,
Ma fée ,ma bonne étoile, mon être préféré
Qui de sa courte vie à laisser une empreinte
Chaude comme la braise et douce comme une étreinte
Elle voulait se balader à dos d’éléphant
Je suis parti la bas pour vivre son rêve d’enfant
Pour gommer mon chagrin, atténuer ma peine
Occulter mon esprit des pensées de ma reine
Tel un troubadour fou j’ai traversé la terre
Pour conjurer mon sort, respirer un autre air
De l’atlantique aux embruns de la mer de Chine
Pour rester debout et ne pas courber l’échine
Je me suis rassasié de toutes ces choses nouvelles
Et noyé ma tristesse en souvenir d’elle
Ressuscité ma vie, inondée de douleur
L’existence noir et blanc retrouvais la couleur
Tout me semblait nouveau et tout me semblait beau
Mon chemin s’éclairait de mille et un flambeaux
De Sapa a Hanoï et jusqu’à Saigon
Que j’ai aimé me perdre au pays des dragons
Je reviendrai un jour fouler cette terre magique
Pour m’enivrer de ces paysages bucoliques
Pour retrouver un peu de cette liberté
Et ponctuer ma vie d’un zeste de légèreté
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Frère si je te perds un jour
Frère si je te perds un jour
Frère, tu es beaucoup plus âgé que moi
Vous avez une femme et un fils à charge
Vous avez Ms. Cela rend la marche plus difficile
Mais vous marchez quand même avec des béquilles
Il faut aussi travailler pour payer les factures
Nous communiquons par email
Nous sommes tous les deux nés chrétiens
Frère, je prie pour toi tous les jours
Ai-je jamais assez dit que je t’aime ?
Frère, tu me manques même
Frère, je sais qu’il se fait tard
Mais je devais écrire un poème pour toi
Pour te faire savoir ce que je ressens pour toi
Frère, nous vieillissons chaque année
Nous ne pouvons pas arrêter de vieillir
Frère, nous sommes très proches l’un de l’autre
Frère, c’est Dieu qui t’a créé
Et si ce n’était pas pour Dieu, vous ne seriez pas ici
Et tu ne serais pas mon frère
Nous vivons sur la terre parce que Dieu nous a mis sur la terre
Nous avons des vies différentes
Vous avez votre vie
J’ai le mien
Personne ne nous a jamais dit que vivre était facile
C’est difficile
Et nous devons vivre un jour à la fois
Frère, la nuit va bientôt se terminer
Et un nouveau jour commencera
C’est l’automne ici
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Toi et moi
Toi et moi
Appartient au monde des dieux
C’est lui
qui nous ont fait
Dans son imagination
Nous sommes très beaux
À Dieu
C’est donc lui qui nous a donné
Le don de la vie
Et la vie est très précieuse
Nous ne ruinerons pas nos vies
En fumant des cigarettes
Si nous faisons cela
Nous allons ruiner nos poumons
Et nous mourrons d’un cancer du poumon
De plus, nous n’allons pas faire cela
Parce que nous voulons vivre une vie saine
Style
Aussi nous t’avons fait une promesse, Dieu
Que nous resterons sobres
Pour toujours
Nous n’allons pas partir
De ta vie Dieu
Parce que nous savons que c’est une mauvaise chose à faire
Dieu, nous espérons que tu nous garderas
Vivant tous les jours
Nous nous sommes enfin habitués à vivre sur terre
Et nous savons que la terre est notre maison
Oui, la terre est également surpeuplée
Avec beaucoup de monde
Nous savons aussi qu’ils ont le même droit
Vivre sur terre
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Tristesse
Tristesse
Je n’ai pas besoin de toi
Apporte-moi plutôt du bonheur
Parce que c’est le bonheur dont j’ai besoin
Mal dans ma vie
Oui, je suis désolé de me sentir grincheux aujourd’hui
C’est parce que je n’ai pas assez dormi
Oui je me suis couché très tard
J’ai enfreint certaines règles
Que mon Père a fait pour moi
Il a établi un horaire de sommeil
C’est à moi de me coucher tôt
Si je fais ça, je dormirai beaucoup
Je ne peux pas survivre avec peu de sommeil
C’est toute la vérité
Je ne suis donc pas du matin
C’est la vérité
Père, apporte la paix dans ma vie
Parce que je n’ai pas de paix dans ma vie
Je suis toujours en train de m’inquiéter, malade à mourir
À propos de ma vie
Oui je sais que la matinée va bientôt se terminer
Mon père
J’ai hâte à l’après-midi
J’ai tellement envie de faire une petite sieste
Père, tu n’as pas à t’inquiéter
À ce propos
J’ai fait le choix de faire une sieste l’après-midi
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Perthro
Je suis le thaumaturge au bord du précipice
Dont le vide myrteux a collé le regard,
J’ai traqué l’avenir, j’ai joué l’aruspice,
Mais jamais je ne vois au-delà du Midgard.
Les Nornes m’ont vaincu : mon destin se dérobe.
J’ai cherché tant et tant… Je n’ai plus de mana,
Théurgiste éreinté, j’ai déposé ma robe.
N’atteindrai-je jamais le secret Nirvana ?
Demain sera toujours ce fabuleux mystère
Que l’on recherche en vain à créer in vitro
Mais qui suit son long court tant qu’on est sur la Terre.
Donnez-moi l’Yggdrasil, je resterai Perthro.
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Ma Cause
Sur la rivière nous marcherons, ce soir, mon tendre amour
Comme nous irons vers le futur promis des hommes justes
Je ne conçois ce monde sans toi sans une cause à scander.
C’est ma meilleure façon de t’aimer et de te défendre des,
Des monstres dans l’ombre et dans la lumière des Villes
Ce monde cette crève que l’on gagne ou longtemps on plie
C’est l’enfer sur terre qui semble tenir les rênes de la Vie;
D’un peuple mondial aux abois qui appelle à l’espoir
Mais il est trop tard il fallait y penser avant de le faire dormir
Combien de fois nous avons dressé le poing haut pour le dire
Combien de coup aie-je endurer de larmes as-tu versé.
Je n’ai plus le goût au ciel sombre comme à tes yeux blessés
Qu’ils aillent en enfer par-là, c’est tout ce qu’ils méritent
Par leur astasie et leurs méchante manœuvres hurlantes
Nous serons sur la rivière ce soir mon amour pour une fois
Loin de leurs murailles et des parents terribles que la peur et le droit.
Nous coucherons avec les étoiles mon amour fou, mon doux amour
Et nous embraseront le ruisseau comme des enfants heureux
Nous entrerons dans notre couche le cœur apaisé oui nos cœurs très amoureux
Loin de leurs cris amoraux qui déversent la haine comme de la boue.
Et quand au matin de tout les futurs possible nous nous tiendrons debout
Pour leur dire que c’est possible de croire encore à l’amour pour combattre
Nous serons si forts toi et moi d’avoir su nous retenir de sombrer dans le bruit
Qu’aucune flèche ne pourra nous atteindre, comme des épées dans l’eau.
Et je te chanterai encore cette douce chanson de nos nuits délicieuses
C’est dans tes bras que dort la prometteuse lumière étoile de la vie
C’est sur tes lèvres qu’elle reste muette pour apprendre à le dire
C’est sur ton sein que la lumière de mon amour écoute vibrer le monde.
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THRILLER URBAIN
Chapitre 1 : L’étagère oubliée
Le bâtiment G de l’université n’avait rien d’impressionnant. Des murs fatigués, des néons qui bourdonnaient, et une odeur persistante de vieux papier. Pourtant, c’était ici que Karim venait presque chaque soir, loin du vacarme du campus.
Il montait directement au quatrième étage — un étage peu fréquent, dédié aux archives historiques. Personne ne venait là, à part quelques étudiants en sciences sociales ou les profs à lunettes rondes.
Ce soir-là, Karim cherchait un manuel pour son exposé sur la sécurité des systèmes. Il glissait ses doigts sur les dos des livres, lisant machinalement les titres, jusqu’à ce qu’un nom étrange tenue son regard : « Carnet d’observations – non catalogué » .
Le petit cahier était glissé derrière une rangée de bouquins sur la guerre d’Algérie. Sa couverture noire était utilisée, les pièces arrondies, le cuir craquelé. Il n’y avait aucun code-barres, aucun tampon universitaire.
Il l’ouvre.
Les premières pages étaient presque vides. Puis, il tombe sur une date :
“17 mars 2019 – Je l’ai vue encore. Même heure. Même banc. Elle ne me regarde jamais, mais elle sait que je suis là.”
Karim fronça les sourcils. Ce n’était pas un carnet d’étudiant. C’était… un journal ? Non. Trop désordonné. D’autres passages suivaient, certains raturés, d’autres illisibles. Une carte dessinée à la main. Un nom : ” Jack.T” Une phrase entourée plusieurs fois :
“Ils veulent qu’on oublie. Mais moi je n’oublie pas.”
Un frisson lui remonta la nue.
Il me renvoie au carnet.
Et c’est à ce moment précis qu’il remarqua la silhouette, en bas, derrière les vitres de la bibliothèque, immobile sous la lumière orange du lampadaire. Quelqu’un l’observait.
à suivre…
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Echo de liberte
Poème : “Échos de liberté”
Sous l’immensité du ciel sans fin,
Le vent s’élance, libre et serein.
Les montagnes, fières et majestueuses,
chantent l’histoire de la terre précieuse.Les rivières murmurent aux pierres des secrets,
Tissant des rêves que le temps ne fait fait.
Chaque arbre, chaque feuille, chaque brin d’herbe,
Évoque un souffle de vie sans réserve.La mer, elle aussi, au cœur de la nuit,
Danse et rugit, sous la lueur de la lune infinie.
Elle défie les vagues et les tempêtes,
Portant en elle la liberté discrète.La liberté n’est pas donnée, elle se vit,
Dans chaque souffle, dans chaque cri.
Elle réside dans le vent, dans l’aube qui se lève,
Dans la nature, où rien ne s’achève.J’espère que ce poème te plaît ! Si vous souhaitez une autre variation ou un thème différent, faites-le moi savoir.
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Dans l’ame de la nature
Poème : “Dans l’âme de la nature”
Dans le souffle des arbres, un cri s’élève,
Liberté fragile, qui dans l’air s’enlève.
Sous les cieux vastes, où l’aigle danse,
Le vent porte des promesses d’espérance.Les montagnes chantent en silence sacré,
L’horizon lointain, toujours à aimer.
L’eau des rivières, douce, indomptable,
Trace des chemins que nul ne câble.Sous la lune, la mer se rebelle,
Elle offre sa force, sa beauté sans égale.
Chaque vague, chaque brise, chaque souffle léger,
C’est la nature qui crie : “Ne me cagez !”La liberté n’est pas un mot, c’est un état,
Elle vit dans la terre, dans chaque éclat.
Dans chaque feuille, chaque oiseau, chaque étoile,
C’est elle qui guide nos pas, sans voile. -
Abus de confiance
Au pouvoir sont élus les décideurs
Après de belles promesses, jamais rien
Ils s’en mordent les doigts, les électeurs
Ils n’agissent pas mais aboient comme les chiens
L’envie de se battre s’est sûrement perdue
Les belles paroles préchées sont déchues
Tandis que l’état s’engraisse sur son dos
Le petit peuple ne veut plus de ses mots
Et à toute époque, les extrêmes montent
Les moutons incultes boivent leurs paroles
Les beaux menteurs agissent sans gêne ni honte
Tant que l’on suit leurs tristes cabrioles
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Personnalité
La personnalité d’une personne peut se définir comme étant la somme de l’ensemble de toutes les caractéristiques d’attitudes émotionnelles et de comportements d’une personne. Le plus souvent, cette dernière est à l’origine de la présence mais aussi de l’absence de certaines personnes dans nos vies. Au regard de la vie courante, des personnes que nous côtoyons, et des expériences que nous faisons, nous pouvons aisément constater que nous avons tous des personnalités différentes. Mais pour l’heure, l’objet de ce texte ne demeure que la personnalité altruiste.
Les personnes ayant cette personnalité ont tendance à faire passer les autres avant elles. Ils ont cette faculté à toujours se soucier des autres et de leurs besoins au détriment des leurs. Ce sont des personnes bienveillantes, aimantes et charitables agissant toujours de façon désintéressée pour le bien des autres.
Mais force est de constater que ces personnes sont malheureusement celles qui se retrouvent le plus souvent blessées à de nombreuses reprises par leur entourage et par les actions posées par ces derniers parfois involontairement. Cela s’explique par le fait que ces personnes sont très sensibles (sensibilité provenant de la personnalité mélancolique). Cependant, personne ne s’est jamais posé la question de savoir comment ces êtres charitables, lors de leurs moments sombres, lorsqu’ils sont complètement vidés d’énergie et affaiblis après avoir donné de leur personne de manière sacrificielle, comment font-ils à “leur tour pour se recharger ? Qui est là pour eux? personne ! Et je pense que là est la cause de leurs nombreuses dépressions ! En effet selon moi, les personnes altruistes en dépit du fait qu’elles agissent de manière désintéressé , attendent en retour inconsciemment que l’on agisse également de la même manière à leur égard !Cela prend son sens lorsque affaiblie, à court d’énergie et au sol elles regardent autours d’elles et ne voient Personnes lorsqu’elles essaient de chercher à qui parler , à qui se confier et ne trouve personne . Personne pour les relever, personne pour les réconforter personne pour leur donner en retour de l’amour et de l’attention . De là elles réalisent qu’elles n’ont personne sur qui réellement compter ce qui crée en elles un sentiment de dépression une dépression fréquente du fait que cette situation est comme une boucle sans fin . Et c’est à cet instant qu’elles se tournent vers le créateur en qui se trouve toute la force nécessaire pour donner autant de sa personne. Car lui même s’est donné et continue de donner tout les jours pour nous sans demander quelques chose en retour.
ROLLUIN’S
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A Quimper
je suis venu tranquille merde encor un carnage
L’ont-ils déjà vu, je l’ignore mais qui peut vraiment le dire !
A tes souhaits – depuis l’temps qu’on s’y voit tu ne crois pas
J’ai beau vouloir, il n’est pas en moi ce chant sacré
Un grand vide un long silence je m’assoie et je veux prier
Mais je n’y vois pas plus clair sinon un grand rire perdu
_ Salut de quoi vous parlez monsieur’’ serait la bonne stratégie
Mais ici tout le monde s’en fout _ pas moi voyez-vous’’ c’est gentil
Je n’ai pas la Foi de celle que l’homme approche avec un œil lavé
C’est trop facile ici ils viennent se racheter une place de choix
Devant des croix, je n’y voit pas plus que dans purée de poix
Un moment je suis venu chercher une réponse j’ai souri au passé
Puis j’ai embrassé mon pote mon Fredo et mon autre pote Yann
Dans la ville on a gagné notre terrasse à l’heure de l’éclipse
Devenir des hommes aveugles la haine est un loup chez nous
Comment te le dire le Borgne en moi rêve de cocards sale couard
Tu me regardes comme pour aller en guerre tu sais qui je suis
Tu l’ignore miles cristi je travaille ta ville au corps je suis lourd
T’es mort contre ta propre ombre, je sais ça moi je suis al
Toi un Allemand énervé de la dernière guerre mondiale je suis résistant
Dans le théâtre de la vie on sonne les cloches sur le ring
Dring dring au fil avec la sagesse d’une femme au cheveux blancs
Je fume à la vie petit mégot en caressant mon égo bingo
Je suis l’eau dans l’auget tourne tourne le carrousel
Ils filme ma vie sur le devant de la scène si je te réveille désol’
La nuit recommence merde c’est là dans la pénombre que j’éclos
Tout ces cons dans leurs enclos j’ai pas d’autres mots des moutons
Des lâches des blaireaux une jungle de vrai connard fatigués
Comment on a été brillant dans le soleil matinal ça fait mal au cœur
Mais il veulent me rendre aveugle aussi alors mes yeux n’ont plus de larmes.
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Noir ou blanc
Noir ou blanc, tel sera le nom de ce roman.
Noir ou blanc parce que les deux seront présent constamment.
Noir ou blanc car pour moi le gris est inexistant.
Noir ou blanc parce que rien n’est plus évident
Noir ou blanc car aucune nuance ne peux y etre present
Noir ou blanc parce qu’il faut trancher a chaque moment
Noir ou blanc car rien est plus important
Noir ou blanc parce que cest le contraste le plus eclatant
Noir ou blanc car c’est ma facon de penser instantanément
Noir ou blanc parce que cest le plus rassurant
Noir ou blanc car au font rien est plus parlant
Noir ou blanc parce que se sont mes composant
Noir ou blanc car je me dois d’accepter ce changement
Noir ou blanc parce que on y est cest le moment
Noir ou blanc