Le chagrin du climat

Sous l’azur parfois trop gris, l’air semble pleurer,
La Terre, notre mère, commence à suffoquer.
Les glaces éternelles, larmes figées du nord,
Fondent en silence, leur tristesse est un trésor.

Les forĂŞts autrefois, vastes poumons verts,
Brûlent sous nos yeux, victimes de nos revers.
Les océans montent, en vagues de désarroi,
Engloutissant espoir en leurs abysses froids.

Vent furieux, il hurle sur les champs dorés,
Témoignant du désastre que nous avons semé.
Des cyclones en rage dessinent dans le ciel
Le portrait d’un futur toujours plus cruel.

Pourtant, l’aube est claire pour ceux qui veulent voir,
Chaque geste compte, il n’est jamais trop tard.
Planter un arbre, sauver l’eau, protéger un brin de vie,
Chaque action forge l’avenir, celui qu’on envie.

Réveillons nos cœurs, écoutons l’appel,
Le cri de la Terre n’est pas superficiel.
Unissons nos forces, changeons le destin,
Pour que demain respire, pour un monde serein.

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