asmaa chibane
Le problème de la pollution des océans représente une menace majeure pour la santé des écosystèmes marins et la sécurité alimentaire à l’échelle mondiale. Voici quelques éléments clés de cette problématique :
La pollution marine est causée par différentes sources, telles que les déchets plastiques, les rejets industriels, les pesticides et engrais agricoles, les déversements d’hydrocarbures et les eaux usées non traitées.
Les déchets plastiques, notamment, sont consommés par de nombreuses espèces marines, ce qui peut causer des blessures, de l’asphyxie ou la mort. On peut aussi observer une accumulation de substances chimiques toxiques dans les organismes marins et une propagation à travers la structure alimentaire.
La pollution marine peut entraîner des conséquences sur la santé humaine, en particulier en consommant des fruits de mer contaminés par des substances toxiques. En outre, cela peut avoir un impact sur les secteurs maritimes tels que la pêche et le tourisme.
La pollution marine à un impact négatif sur les écosystèmes en dégradant les habitats côtiers et les récifs coralliens, mettant en péril la biodiversité et affaiblissant la résilience des écosystèmes face aux changements climatiques et aux événements extrêmes.
Afin de combattre la pollution marine, des mesures internationales, nationales et locales sont mises en place. Cela englobe la réglementation des déchets plastiques, l’amélioration des infrastructures de gestion des déchets, la promotion de l’économie circulaire et l’information du public sur l’importance de préserver les océans.
Des initiatives internationales telles que la Convention de Barcelone pour la préservation de la mer Méditerranée et la Convention de Londres sur la prévention de la pollution marine par les déchets illustrent les efforts visant à réguler et à diminuer la pollution marine à l’échelle mondiale sur le plan international.
Il est essentiel d’adopter une approche globale et coordonnée pour lutter contre la pollution marine, en impliquant les gouvernements, les entreprises, la société civile et les individus. En adoptant des comportements responsables et en soutenant des initiatives visant à diminuer l’impact de nos activités sur les écosystèmes marins, chacun peut jouer un rôle dans la préservation des océans.
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Oui, c’est un constat a minima. On sait depuis deux décennies qu’il y a deux “taches” de plastique, agglomérat de différentes matières dont majorité de plastique. L’une fait aujourd’hui la taille de l’Europe, sur une épaisseur d’environ trente centimètres, si je me souviens bien. Il s’agit maintenant de passer de la déploration à l’action.
Commencer par écrire aux élus. Mais qui le fait ? Personne. Les gens dans un consumérisme acéphale, et rien ne les touche tant qu’ils qu’ils peuvent bouffer, boire et baiser. Les seuls à montrer un peu de vie, un peu de citoyenneté, un peu de souci d’eux-mêmes, sinon du voisin, c’est les militants des ZAD, ou contre les méga-bassines voulues par Cinglé 1er, le corrompu. Ils sont bien peu.