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Le jour le plus long

Les carillons n’ont rien pu faire. Ni l’âpreté de mes reproches. Pas même tes yeux de chandelier, ou bien tes airs de militante. Je voulais t’emmener loin des scanners pressurisés, des diodes sempiternelles. Que tu me montres l’odeur des prés après la guerre, que je me plaigne de tes fous rires.

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Khalil Gibran quote, from The Prophet

Let there be spaces in your togetherness, And let the winds of the heavens dance between you. Love one another but make not a bond of love: Let it rather be a moving sea between the shores of your souls. Fill each other’s cup but drink not from one cup. Give one another of your bread but eat not from the same loaf.

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Write french classical poetry : learn the rules of verses and write your own poem

Here are the basic rules of classical versification . These rules will help you write your own poem based on classical poetry, unlike free verse poems.
The silent “e”
In classical poetry, the “e” is not pronounced:

At the end of a line, whether it is spelled “e”, “es” or “ent”. This is called an apocope.
When followed by a vowel.
When followed by a silent “h”.

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Un destin à l’envers

Parfois je me sens anxieux, car le doute, le désespoir me tracassent.
J’ai l’impression de tourner dans le vide, les choses que je vois me font peur, je n’arrive plus à me pencher sur mon avenir, la paresse m’anime, j’ai envie de pleurer, de me lamenter sur mon sort.

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Les règles des vers dans la poésie classique

Voici les règles basiques de la versification classique. Ces règles vous aideront à écrire votre propre poème sur la base de la poésie classique, à l’inverse des poèmes en vers libres.
Le “e” muet
En poésie classique, le “e” ne se prononce pas :

En fin de vers, qu’il soit graphié “e”, “es” ou “ent”.

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Révolution des couleurs

Lors de leur rencontre, autour d’une table ronde.
Les couleurs décidaient d’orner notre monde.
Qui avait été affublé en noir et blanc
Et le rendre adorable et attrayant.
Elles convainquaient de donner à son visage.
Plus d’allure, de brillance et d’éclairage.
Le vert avait le feu vert, il était superbe.
Il avait teint sa couleur sur toute l’herbe.
Le bleu avec son bleu de travail était prêt.

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