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VOCABULAIRE

VOCABULAIRE4  (14-19)
CHEMIN D’EDEN
Tous ces crocus polychromes
Poussent comme de l’herbe monotone
Mais en bien plus beau, évidemment !
ELLE
Entre tes lèvres
Ce poème : « Je t’aime »
Comme du velours.
LIBERTÉ
À la fenêtre,
Une abeille dans les rideaux,
Première prise du printemps.
HUMIDITÉ
La pluie seule contre
Le torrent qui serpente.

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LES FRITES

LES FRITES
Le mardi à midi c’était purée jambon ou purée sardines,
Ça changeait d’une semaine sur deux.
Le mercredi c’était frites jambon
Ou frites avec un « coco » (un œuf sur le plat).

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POEME1: L’Amour

Dans la nuit comme la matinée au fur et à mesure que mon cœur bat je ne cesse de penser à toi.  A chaque fois que je te vois j’ai une et mille sensations qui parcours mon corps ajoutant une étincelle hallucinante qui de même rends ce petit instant incroyable.
La puissance du soleil n’est rien comparé à la lumière qui se produire lorsque je contemple ton visage ressemblant à celui d’un ange.

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L’ACCIDENT

L’ACCIDENT
Il y avait des éclats de lumières,
Des bruits de verres et de tôles froissées.
Il avait des petits morceaux de pare-brise dans la bouche,
Dans les oreilles et sur les contours des yeux,
Dans les cheveux aussi.
Ça sentait une odeur de gaz carbonique dans l’habitacle de la voiture cassée.
Probablement dû aux airbags.

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FRAGMENT

FRAGMENT
Un coupon veut,
Un coupon veut pas,
On a lagueule qu’on a.
Dans l’immensité verte des marais,
Un polichinelle jaune s’en est allé.
Les blessures du passé
Ont du mal à refermer.
Le soleil luisait dans ses yeux.
À quoi bon mentir,
À quoi bon trahir,
Dieu s’est inventé,
Par nos chairs corrompues,
L’objet de convoitise est devenu.

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Orage et cabriolet capricieux

Par un après-midi radieux, baigné de soleil, nous décidâmes de partir en vadrouille, savourant la douce liberté que procure un cabriolet des années 80.
L’air était tiède, la route invitante, et la mécanique ronronnait avec une élégance surannée.
Tout semblait réuni pour une promenade parfaite.
Hélas, la nature, dans sa grande malice, avait d’autres desseins.

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