La femme de l’image
Sévère, impénétrable
N’admire son jardin magique
Ni fleurs qui la saluent
Ni rose carmine
Qui fixe ses yeux tragiques
Toute fleur lui rappelle
Enfants palestiniens
Assoiffés et affamés
Blessés, tués
Par la lâcheté humaine
Par bombes qui pleuvent sur eux
Sans cesse et sans pitié
La femme de l’image
N’oublie jamais
Leurs pleurs et leurs souffrances
Marjorie, dans sa vie, n’est qu’une pauvre fille malheureuse. Son père est décédé peu de temps avant sa naissance. Sa mère, une bougresse, s’est détachée d’elle rapidement. Marjorie a quand même continué à dérouler le film de sa vie. Plus tard, elle a épousé Romain par pitié et compassion. Il faut dire qu’il est un peu bancal avec son pied-bot.
Arrachons les plantations d’armes Pour y faire pousser des oliveraies. Elles serviront d’habitats aux colombes humaines. Et dans nos esprits, infestés de missiles meurtriers, Il faut redéfinir profondément notre façon de voir Pour que notre pouvoir d’observer nous montre Que la ligne droite se plie dans un plan d’eau.
Initialement conçue comme une recension critique de l’article de Martin Cortès, philosophe et sociologue argentin, « Contre l’ontologie de la pureté. Sur Marx, le marxisme et critique décoloniale » (in. Critique de la raison décoloniale.
S’énamourer est inéluctable;Insane soit celui qui évite l’inexorabilité;Obtempérer à ses exigences ressemble à une inanité,Non authentifiée par le cœur, qui dégage des pulsations ineffables.
OG-ArtMania
La notion d’amour est propre à l’Homme.Chacune et chacun la décrit en fonction de ses expériences personnelles.Cependant, se référer au postulat d’un autre s’avère risqué.Chacun est libre d’embrasser cet univers comme bon lui semble.Pour vivre l’amour en harmonie, il faut se débarrasser de toute comparaison.Les vrais jumeaux sont issus du même ADN,Pourtant, ils restent deux personnes distinctes.