L’homme a quitté la campagne pour vivre en ville, pensant que la vie d’usine ou de bureau serait plus facile que la vie de la terre.
Nous sommes pour la plupart déracinés de notre environnement originel et coupés du lien à la nature.
Quelle peur pourrait se justifier contre notre écosystème. L’homme est plus dangereux pour l’homme qu’une vache au regard empathique et à l’intelligence maline.
Nous devrions remercier la Nature pour cette magnifique intelligence créatrice qu’elle révèle et que nous fuyons derrière un traitement de texte que nous appelons à tort ou à raison de l’intelligence artificielle.
Ne plus vouloir réflechir et découvrir atteint peut être l’apogée de la vacuité humaine. Le sommet de l’humanité ou une volonté de ne plus rien faire par soi-même?
Où se trouve le lien de l’intelligence collective ? Dans l’ia…et nous ? Dans nos smartphones le cerveau émerveillés d’inventions réactualisés, rassasiés d’informations zombifiantes pour notre vivacité d’esprit. L’homme est capable de créer de belles choses, non?
La vie en ville est devenue une forme de servage moderne : nous vendons notre travail comme des serfs travailleurs, dépendants du système économique urbain, sans même en prendre pleinement conscience .
Face à l’ennui de nos sociétés contemporaines, nous construisons des écosystèmes artificiels : la ville, Internet, et maintenant l’intelligence artificielle.
Nous nous embêtons et trouvons des ennemis pour se sentir vivre, alors nous faisons la guerre ou explorons des technologies pour rompre la vacuité de l’existence.
Qu’en pensez vous?