J’étouffe,
j’ai besoin d’air,
mais dehors
je peux à peine respirer.
Je suffoque,
j’ai besoin de sortir,
mais la ville
m’écrase davantage.
J’agonise,
lentement.
Mais ce n’est que mon âme
qui souffre,
qui veut s’évader,
qui se tortille,
inconfortablement.
J’étouffe,
entre quatre murs,
et pourtant,
je respire bien.
(C’est la première fois que je publie un texte.)
(Merci à Pix-Off pour la photo)