Sur le chemin des âmes perdues,
La nuit s’épaissit, le doute s’installe.
La, une lanterne veille encore,
Et trace la route vers l’infini.
Cette lanterne d’huile éclaire l’intact,
Et ceux dont les yeux refusent la flamme.
Restent en dehors, dans leur propre ombre,
Sans vigueur pour franchir l’épaisse nuit.







