(Texte protégé)
Oh ciel, toi et tes tristes sanglots,
Regarde un peu ce monde sous l’eau !
Les rivières sortent de leur lit
Et se noient de mélancolie,
Laissant derrière elles, leurs sommeils chagrins
Et la détresse de tous ces riverains.
Oh ciel, toi et tes tristes larmes
Au nom de quelle déesse, de quelle femme ?
Pleures-tu ainsi, sans cesse ?