J’étouffe,
j’ai besoin d’air,
mais dehors
je peux à peine respirer.
Je suffoque,
j’ai besoin de sortir,
mais la ville
m’écrase davantage.
J’agonise,
lentement.
Mais ce n’est que mon âme
qui souffre,
qui veut s’évader,
qui se tortille,
inconfortablement.