FRAGMENT

FRAGMENT

Un coupon veut,

Un coupon veut pas,

On a lagueule qu’on a.

Dans l’immensité verte des marais,

Un polichinelle jaune s’en est allé.

Les blessures du passé

Ont du mal à refermer.

Le soleil luisait dans ses yeux.

À quoi bon mentir,

À quoi bon trahir,

Dieu s’est inventé,

Par nos chairs corrompues,

L’objet de convoitise est devenu.

Tout autour du monde,

Le pauvre homme

Se sent pousser des ailes.

Les autres le regardent

Et il aime ces gens gentils

Avec l’espoir au bout de la nuit.

Au beau matin inspiré,

Ilt raverse au galop,

De long en large son destin,

Et cherche la quadrature du cercle.

Lamer se retire,

Comme un drap qu’on tire à soi.

Sous un cœur qui palpite,

Il y a la vie rythmée des vagues.

Ce mouvement de la mer et d’océan,

Des branches dans le vent,

Dans sa tête, dans son cœur,

Il y a des sentiments.

Mais dans la douceur et la violence

Du ciel embrasé,

Un prélude de l’été s’imagine.

Le soleil chauffe,

(séquence érotique)

Le vent caresse.

Un relent du passé

Vient compléter

Une atmosphère de regrets.

Victime de l’amour,

Structure animale,

Structure végétale,

Mathématiques musicales,

Symboles innocents,

Corbeaux,

Roses trémières,

Forsythia,

Clochettes des prés,

L’existence n’a pas de prix.

Un concept idéalisé,

Se formate machinalement.

CHRISTOPHEPOIRIER 18/12/2024

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