LA VIE, Ă SĂ©verine
Ces cris et ces larmes
Ces cris que tu entends
Ce ne sont pas seulement les oiseaux Ces chats qui te guettent
Et qui te nourrissent
Ces oiseaux
que tu aimes plus que la Vie
Tu sais
Ils sont lĂ pour Toi
Ils attendent ta fin
Regarde plutôt l’Arbre
Et pense Ă la Vie
N’oublie pas tes camarades
Ces portes qui claquent
Ces mots que tu lâches
Passé sans futur n’est qu’un souvenir
Je sais ces grilles qui te font peur
Ces ombres qui sont lĂ Tu sais
Ils t’ont enfermĂ©s lĂ
Pour toujours dormir
Ne plus s’enfuir
Toujours se réveiller
Je sais Ces clefs que tu entends sans cesse
Tu sais
dehors ils sont pareils
Fermer et ouvrir c’est toujours le même souci
Regarde en plein soleil
Plus besoins de montre
Ne plus penser
Manger et dormir
Ne plus s’enfuir
Ces cris et ces larmes
Ces cris que tu entends Ce ne sont pas seulement les oiseaux Ces chats qui te guettent
Et qui te nourrissent
Ces oiseaux
que tu aimes
plus que la vie
Tu sais
Ils sont lĂ pour toi
Ils attendent ta fin
Regarde plutôt l’Arbre
Et pense Ă la Vie.
N’oublie pas tes Camarades.
Je sais qu’ils t’ont enfermĂ©s lĂ
Et ils ont refermés leurs portes
Sur tes Camarades
Je sais Tu te souviens maintenant
Tu te réveilleras c’est sur
Regarde Ă Midi
Vers le Soleil
Tu sais
je n’étais pas loin
Mais moi je je suis dormais
Ils te laisseront partir
Un jour quand tu seras prĂŞte
Je sais tu te souviens.
Stéphane ESTEDEST
Ce texte est une transposition d’une autre réalité qu’évoque Bernard Lavilliers dans sa célèbre chanson Betty.
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