Et c’est le soir souvent, quand le jour s’assoupit,
Que nous réécrivons avec notre cœur épris,
Les pages d’une histoire, empreinte de nostalgie,
Un ballet de souvenirs, une douce mélodie.
Dans l’étreinte du temps, nos méandres s’entrelacent,
Comme des sentiers cachés où nos âmes s’enlacent,
Et dans cet échange intime, secret et profond,
Nous découvrons l’écho d’un amour vagabond.
Les mots deviennent des ponts vers nos rêves passés,
Les vers tissent les liens de nos vies entrelacées,
Et nos cœurs, telles des plumes, voguent sur les éthers,
Écrivant en silence une poésie éphémère.
Nous dévoilons nos blessures, nos joies, nos tourments,
L’encre coule sur la page, une larme dans le vent,
Chaque ligne est un morceau d’une histoire gravée,
Où se mêlent les émotions d’une vie partagée.
Dans ces heures volées, nous révélons nos secrets,
Les murmures de nos vies, en un doux ballet,
Et lorsque la compréhension pointe à l’horizon,
Nos âmes se délivrent, se confient sans façon.
Au clair de lune complice, nos souvenirs s’entrelacent et nos cœurs se racontent,
Et dans cette danse d’étoiles et de soupirs,
Nous créons un poème, un élixir
Car c’est le soir souvent, que se forge la magie,
Quand nos plumes envoûtées célèbrent l’harmonie,
Et dans ce doux crépuscule où l’amour se révèle,
Nous écrivons, en silence, notre histoire éternelle.
Méandres mélancoliques.
Un texte de : “Arkazai Moh”
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C’est beau