Le Bleu.
Celui de toute cette eau appelée l’océan,
Cette vaste étendue d’eau et de sable blanc,
Abritant des poissons, des coraux et du sel,
Rejoint à l’horizon celui plus doux du ciel,
Recouvert de taches blanches ou bien d’un voile gris,
Il est parsemé de points blancs quand vient la nuit,
Là où se croisent toutes sortes de volatiles,
Au-dessus de nos têtes peut-être nous observe-t-il.
Le Bleu.
LA SINGULARITE HUMAINE
Ta race m’intrigue profondément
De ton physique t’es pas prédominant
Pourtant tu semble prééminent
A l’endroit de tout autre être vivant
Physiquement chaque espèce a sa singularité
Laforce la vitesse ou même la ténacité
Allant des insectes au gros canidés
Chacun est maître dans sa spécialité
Toi tu est si fragile, sans corne ni fourrure
Pourtant depuis des générations tu perdure
Tu as dompté les p
Aléa Jacta Est
Les scélérats, ses lauréats, des rats de l’orée,
Plus attirés par l’or que les scellés Sailor et Lula,
Advienne que pourra,
Aléa jacta…
Dans l’ombre des tours ils se prélassent,
À coup de passe-passe, se hissent les messes basses,
Préface pour nos faces de leurs idées salaces,
Pour mieux nous la mettre dans le Ass Ass,
Les rois trinquent, et nous, nous troquons notre froc,
Dans leurs calices, du p
L’imagination
Quand j’étais un enfant, A l’orée de ce bois,
J’avançais tel un faon, Scrutant tout, aux abois…
M’arrêtant de marcher, Assis sur le chemin,
J’essuyais de mes mains Mes deux pieds écorchés.
Furent ainsi écartées Toutes les prédations…
Quelle belle liberté Que l’imagination.
Où donc est la clairière Que l’on m’a tant vanté ?
Vue d’en haut, tu fais ma fierté, véritable joyau,
Vue d’en bas, un éclat bleu recouvert d’un voile de chaos,
Telle un Derviche tu tournes, si belle et si fragile,
Plus tu tournes, et plus nous pillons ta terre de fossile,
Nos innombrables faux pas, font qu’aujourd’hui tu vacilles
Tes forêts crient des chants que nous ne voulons écouter
Toi, poumon vert, que nous forçons à nous f
Sans confession
Sans confession
Sous les voûtes dorées, dans l’ombre des croix,
Les murmures s’élèvent, dictant leur loi,
Les cierges ésotériques, pleurent des larmes de cires,
Pendant que l’or coule entre des mains perfides,
Les âmes se confessent, les âmes se taisent,
Les billets s’entassent sous la Sainte-Chaise,
On prie pour le monde, on bénit l’argent,
L’enfer s’achète au prix des croyants,
Les anneaux brill