Les vagues fouettent ton corps
Fracassant de plus en plus fort
Leurs gestes d’un désaccord
Embrassant des embruns
Tels de violents câlins
Qui butent sur tes reins
Empêchant les regains
De venir agresser le mien
Me protégeant du ressac
Qui met tout en vrac
Mutilant de sa beauté
Les plages à chaque marée
Léchant les rochers
Du regret d’être arrêtée
Caressant de son écume
Si douce qu̵
Après un terrible orage
Faisant de multiples ravages
Inondant caves et garages
Détruisant par la foudre
Les arbres en poudre
Tel un dé à coudre
De sa charge lourde
Les éclairs déchirant le ciel
D’une ribambelle d’étincelles
Éclairant le temps d’un instant
Un firmament tout blanc
Comme on n’en a pas vu depuis longtemps
Le grondement résonne et détonne
En ce mois d’auto
Le temps qui file
c’est étrange comme notre temps a vraiment changé , On ressent plus cette atmosphère qu’on ressentait autre fois , ou tout était , si simple , si beau et si réel , il y a des moments ou on ressent cette nostalgie cruelle qui nous emprisonne dans l’obscurité , ou on commence à réaliser tous ce qu’on a perdu , sans qu’on se rend compte .
FLEUR DE POÈTE
Fragile comme une fleur
D’argile est mon cœur
Perméable à tout malheurs
Qui ont crevassé de leurs heurts
Le centre névralgique de mes valeurs
Multipliant les pétales porte-bonheur
Qui en sont les sauveurs
Y mettant tout leurs ardeurs
Pour fleurir de ses odeurs
Agréables du bonheur
Posé sur ma tige
Sans aucun litige
Que mon prestige
De s’épanouir
Et se faire plaisir
Ouvrant grand mes ét
Présentation de « La verbena » de Rubén Sánchez avec Gabriel D’Almeida et Robin Reese.
La verbena raconte les retrouvailles d’Alex et de Marc, marquées par deux événements qui ont un impact sur les deux personnages. D’une part, Alex (Gabriel D’Almeida) est un jeune homme sur le point de devenir père et qui a du mal à accepter son homosexualité.
Deux voix
Quelques notes du bout des doigts ont réveillé les ombres du temps. Mon cœur a palpité.Hypnotique douce rythmique légère profonde et fragile, la musique tisse un lien vers le passé et tire le fil pour le rembobiner jusqu’à moi.
Dans le téléphone une voix d’outre-temps, d’outre-vie, franchit les années
et parle comme si hier était aujourd’hui.
J’ai écrit
J’ai côtoyé la dangereuse, la sournoise vertigineuse, j’ai côtoyé la mort.
J’ai côtoyé l’attrait du vide, insensible rive de l’oubli, j’ai côtoyé la mort.
J’ai voulu faire cesser la douleur assassine lente décomposition d’un esprit trop fragile.
Invisibles
Que ce soit comme ça, ou par choix, ils sont souvent dehors, occupés à compter leurs pas solitaires et frêles silhouettes :survivants de la rue, la simple notion du temps leur semble extraordinairement exclue Quand le sommeil ne les prends pas ;qu ils rejettent Morphée, qu’ils s’extirpent de ses bras :ils s’en vont marcher,une bouteille à la main,parfois pour se réchauffer un moi
Jusqu’au fond du cœur ❤️
Il Faut s’aimer soi-même avant d’aimer
Elle a consacré toute sa vie
À un homme qu’elle considérerait comme son mari.
Elle a coupé les ponts avec sa famille et ses amis selon ses exigences.
Pensant que le véritable amour réside dans la patience.
Elle s’est donnée corps et âme pour être une bonne femme,
Ignorant les blessures et les blâmes.