*Jean Pierre Basilic Danthor Franck Etienne D’Argent*
Nous nous excusons de vous avoir laissé entendre
Le fracas d’un cri nouveau, écho d’un monde en cendre,
Car le souffle fragile d’un enfant à naître
A fait trembler les racines du vieux mapou en pleine mue,
Se faufilant dans les méandres du temps qui s’effondre,
Comme un présage gravé dans l’écorce du vécu.
Il se peut que je connaisse les syllabes qui composent ton nom, ou les traits subtils qui façonnent les contours de ton visage, mais ce somptueux paraître ne saurait capturer l’essence même de tout ton être.
A toi enfant palestinien
Il parlait, il marchait… il souriait…
Et il continuera toujours à sourire quelque part en nous,
Dans le cœur de chacun… Il est parti…peut-être pas si loin…
Peut-être y a-t-il maintenant une étoile de plus dans le ciel ?…
Il a goûté au monde…Innocent ? peut-être, oui…
Et déjà enjôleur et coquin… J’ai envie de dire « c’est pas juste !
Hiver
Plume ronronne dans mes bras
Petit chat doux, réconfortant,
Il manque quelque chose pourtant
En moi il fait un peu froid
Dehors la neige, immensité vague,
Ondule son blanc scintillant
Les gouttes, sur la vitre embuée,
Lascives, s’écoulent lentement
Et pleurent mes sentiments
Il se traine un vent d’hiver
Sur mon coeur de père
Bonjour maman
Bonjour ma vie
Bonjour mon paradis
Aussi loin que je me souvienne tu as toujours été la pour moi
Mon premier amour c’est toi
La première femme dans ma vie c’est toi
Tu est ma mère mon amie ma confidente
Tu est ma boussole quand je me perd
Mon espoir quand je désespère
Tu est la prunelle de mes yeux
Ton bonheur mon objectif
Ton malheur m’a peine
Une mère c’est
Pendant cette soirée, toi et moi nous avons dansés
Ces regards puissants interactifs, je suis rentré
Dans une partie de ta vie, même si c’était un souci
Tu côtoyais la méchanceté, malgré cela tu m’as souris
Je viens de comprendre, que tu étais spécial
Toi-même tu ne t’étais pas rendu compte de cela
Que ce lien entre nous, et totalement spatial
Mais comme à chaque fois, j’ai