Qui es-tu en bas de ma rue
Homme, femme ou détritus ?
Solaris Terrae
Le voyage se réalise
Nous voilà sur la banquise
Dans le cercle polaire
Plus de repère
L’enfer blanc, dantesque
S’offre à nos yeux, gigantesque
Nature d’une beauté terrifiante
Vision ensorcelante
Le ciel s’allume et s’anime
Les couleurs sont sublimes
L’alchimie est totale
Avec les boréales
Main dans la main, émerveillés
D’être les témoins privilégiés
De la liaison éphémère
Du S
Clara
Me voyant désœuvrée pendant les grandes vacances d’été, ma mère m’a envoyé voir sa tante Clara, une vieille dame de quatre-vingt neuf ans, qui avait besoin de compagnie. Elle habitait à la lisière d’une forêt. Je me disais que j’étais comme le petit chaperon rouge.
Le colibri (poème)
Le colibri,
dans son paradis.
Habile,
Il frétille ses plumes
en équilibriste sans fil,
en aquarelliste brillant.
Oiseau bonheur,
et à l’instar du bonheur,
il est fuyant, temporaire,
infidèle, capricieux,voire mercenaire,
mais d’une puissance telle,
que l’attente semble en valoir la peine.
Je vous apprécie
Je vous apprécie mon cœur
Je vous apprécie mon ange
L’envie me prend, de me dévoiler,
Je vous apprécie,
Cela pourrait me ronger, comment vous aimer me frustre autant,
Je vous apprécie,
Suis-je aussi proche?
Doux commerce VS guerre ⚔️
Mes ancêtres
Viennent des montagnes par la mer.
Doux commerce,
Bois de cèdre flotte sur la mer.
•
C’est la guerre
Que fait le cowboy à la Terre
Entière,
Ira-t-il jusqu’à piller la neige
Éternelle ?
La terre, son blanc manteau de neige.
S.E.P.T.E.M.B.R.E “Temps de reprise”
-S.E.P.T.E.M.B.R.E-
*Temps de reprise*
*S* oupir pour certains! Soulagement pour d’autre *S*
*E* cole maternelle, moment de jeux, de manipulations, école élémentaire, temps de découverte des choses élémentaires, en toute insoucianc *E*.
*P* oint de départ, d’une histoire, d’une vie, pour donner le meilleur de soi, etre au “to *P*” !
Si le monde était à moi, il serait toi
Tous deux vivre sous le même toit
Pendant ce temps l’amour ne s’arrête pas
Au passé, à présent tu parles de moi
Ta voix, ton odeur et ton sourire
Ton aura en guise d’abri
De réelle fortune incontestable
Nos corps se mélangent, tout devient instable, on se regarde
Un « Je t’aime » involontaire me parle
Nos regards se croisent, je vois en toi que tout est froid






