Le Bleu.
Celui de toute cette eau appelée l’océan,
Cette vaste étendue d’eau et de sable blanc,
Abritant des poissons, des coraux et du sel,
Rejoint à l’horizon celui plus doux du ciel,
Recouvert de taches blanches ou bien d’un voile gris,
Il est parsemé de points blancs quand vient la nuit,
Là où se croisent toutes sortes de volatiles,
Au-dessus de nos têtes peut-être nous observe-t-il.
Le Bleu.
Le Vert.
Celui qui recouvre nos sols si joliment,
Parsemé de couleurs lorsque vient le printemps,
Accueil des fraises, des framboises et des mirabelles,
Et sublime nos plaines, nos collines à merveille,
Il habille nos arbres en les rendant si jolis,
Et en présence de vent émet un léger bruit,
Toutes sortes de petites bêtes se faufilent,
Au travers de centaines de feuilles et de brindilles.
Le Vert.
Le Marron.
Celui que l’on foule parfois indirectement,
Selon le temps qu’il fait il peut être différent,
Des fourmis il est leur habitat naturel,
Se mêle avec celui des arbres, même les plus frêles,
Plus dur et nuancé sur lui la sève luit,
Dans le creux de ses branches peut se trouver des nids,
Des écureuils, des hiboux ou des chenilles,
Pourront s’y reposer et y rester tranquille.
Le Marron.
Des yeux Bleus et des yeux Verts et des yeux Marrons,
Qui se regardent, qui se mélangent, qui tournent en rond,
Qui s’entrecroisent, qui se perdent de vue, qui se suivent,
Qui rebroussent chemin, qui se séparent, qui s’esquivent,
Qui se découvrent, qui se frôlent, qui se reconnaissent,
Qui se rapprochent, qui se retrouvent, qui se dispersent,
Qui s’ignorent, qui s’entrelacent, qui font demi-tour,
Ce sont les couleurs de la vie et de l’amour.
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