La brise effleure un beau village
La pierre dort comme un vieux sage
Un sentier grimpe entre les chênes
L’ocre des toits farde les peines.
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Blottis contre le flanc des siècles
Les oliviers tendent leurs bras
Le parfum clair des sarriettes
Apaise les monts d’autrefois.
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Thym, romarin, et tapenades
Cerises, figues, rigolades
À l’ombre d’un mûrier platane
Le temps s’étire et se pavane.
Category: Poetry
L’autre miroir
Me voici, théâtralement tordu assis en forme de creux de vague, j’écris
Le café, fidèle compagnon et maitre de la volonté de régner sur la page,
Tiède ! comme un fou du roi espiègle mais ivre ou directement Fou.
La certitude des ronces ? c’est sans doute qu’elles égratignent l’épiderme.
Russell
Vous marchez enfin
L’escalier vers le ciel
Lorsque vous êtes arrivé à
Ciel mon Dieu
Père ouvre la porte
Vers le ciel
Ainsi, vous pourriez entrer à l’intérieur
Là, ton père t’a donné un coton
Robe avec bordure dorée
Pour que vous puissiez changer
Dans le coton
Vos vêtements que vous portiez
Pendant la journée
A été envoyé pour laver
C’est aussi mon Père qui t’a pris
À votre chambre au parad
Il y a Trois Millions d’Années …
De Lucie l’Australopithèque à Lucie 7B l’Intelligence Artificielle
Leanne
Nous sommes si heureux pour vous
Que vous êtes
Vivre maintenant votre nouvelle vie
Au ciel
Sans aucune douleur
Nous prions donc pour vous
Tous les soirs avant de partir
Au lit
Ce ne sera pas facile
Pour que nous vivions ici sur terre
Sans toi
Oui, un jour où nous serons morts
Nous serons réunis au ciel
À l’heure actuelle, nous sommes encore jeunes
Et nous avons encore une vie devant nous
Vi
Vietnam, J’irai vivre ton rêve
Vietnam
J’irai vivre ton rêve .
Frère si je te perds un jour
Frère si je te perds un jour
Frère, tu es beaucoup plus âgé que moi
Vous avez une femme et un fils à charge
Vous avez Ms. Cela rend la marche plus difficile
Mais vous marchez quand même avec des béquilles
Il faut aussi travailler pour payer les factures
Nous communiquons par email
Nous sommes tous les deux nés chrétiens
Frère, je prie pour toi tous les jours
Ai-je jamais assez dit que je t’aime ?
Toi et moi
Toi et moi
Appartient au monde des dieux
C’est lui
qui nous ont fait
Dans son imagination
Nous sommes très beaux
À Dieu
C’est donc lui qui nous a donné
Le don de la vie
Et la vie est très précieuse
Nous ne ruinerons pas nos vies
En fumant des cigarettes
Si nous faisons cela
Nous allons ruiner nos poumons
Et nous mourrons d’un cancer du poumon
De plus, nous n’allons pas faire cela
Parce que nous vo
Tristesse
Tristesse
Je n’ai pas besoin de toi
Apporte-moi plutôt du bonheur
Parce que c’est le bonheur dont j’ai besoin
Mal dans ma vie
Oui, je suis désolé de me sentir grincheux aujourd’hui
C’est parce que je n’ai pas assez dormi
Oui je me suis couché très tard
J’ai enfreint certaines règles
Que mon Père a fait pour moi
Il a établi un horaire de sommeil
C’est à moi de me coucher tôt
Si je fais ça, je dormi
Je suis le thaumaturge au bord du précipice
Dont le vide myrteux a collé le regard,
J’ai traqué l’avenir, j’ai joué l’aruspice,
Mais jamais je ne vois au-delà du Midgard.
Les Nornes m’ont vaincu : mon destin se dérobe.
J’ai cherché tant et tant… Je n’ai plus de mana,
Théurgiste éreinté, j’ai déposé ma robe.
N’atteindrai-je jamais le secret Nirvana ?