Tristesse
Je n’ai pas besoin de toi
Apporte-moi plutôt du bonheur
Parce que c’est le bonheur dont j’ai besoin
Mal dans ma vie
Oui, je suis désolé de me sentir grincheux aujourd’hui
C’est parce que je n’ai pas assez dormi
Oui je me suis couché très tard
J’ai enfreint certaines règles
Que mon Père a fait pour moi
Il a établi un horaire de sommeil
C’est à moi de me coucher tôt
Si je fais ça, je dormi
Category: Poetry
Je suis le thaumaturge au bord du précipice
Dont le vide myrteux a collé le regard,
J’ai traqué l’avenir, j’ai joué l’aruspice,
Mais jamais je ne vois au-delà du Midgard.
Les Nornes m’ont vaincu : mon destin se dérobe.
J’ai cherché tant et tant… Je n’ai plus de mana,
Théurgiste éreinté, j’ai déposé ma robe.
N’atteindrai-je jamais le secret Nirvana ?
Sur la rivière nous marcherons, ce soir, mon tendre amour
Comme nous irons vers le futur promis des hommes justes
Je ne conçois ce monde sans toi sans une cause à scander.
Echo de liberte
Poème : “Échos de liberté”
Sous l’immensité du ciel sans fin,
Le vent s’élance, libre et serein.
Les montagnes, fières et majestueuses,
chantent l’histoire de la terre précieuse.
Les rivières murmurent aux pierres des secrets,
Tissant des rêves que le temps ne fait fait.
Chaque arbre, chaque feuille, chaque brin d’herbe,
Évoque un souffle de vie sans réserve.
Dans l’ame de la nature
Poème : “Dans l’âme de la nature”
Dans le souffle des arbres, un cri s’élève,
Liberté fragile, qui dans l’air s’enlève.
Sous les cieux vastes, où l’aigle danse,
Le vent porte des promesses d’espérance.
Les montagnes chantent en silence sacré,
L’horizon lointain, toujours à aimer.
Abus de confiance
Au pouvoir sont élus les décideurs
Après de belles promesses, jamais rien
Ils s’en mordent les doigts, les électeurs
Ils n’agissent pas mais aboient comme les chiens
L’envie de se battre s’est sûrement perdue
Les belles paroles préchées sont déchues
Tandis que l’état s’engraisse sur son dos
Le petit peuple ne veut plus de ses mots
Et à toute époque, les extrêmes
je suis venu tranquille merde encor un carnage
L’ont-ils déjà vu, je l’ignore mais qui peut vraiment le dire !
Noir ou blanc
Noir ou blanc, tel sera le nom de ce roman.
Noir ou blanc parce que les deux seront présent constamment.
Noir ou blanc car pour moi le gris est inexistant.
Le clochard céleste
C’est le temps de la lumière
Meurt hier soir de printemps
J’erre dans la rue bestiale
Le bétail dort là dedans
Vie étrange 13 heures de la nuit
La lune luit je suis mon ange
De la mort de la destruction
Rêve d’une solution et consorts
Pour dormir à l’abri loin du froid
Je me fraie un chemin digne
Une cage d’escalier ouverte
Je vais au palier poser mon bagage
Je m̵
Ode a l’aube en ce jour là limpide
Oui amouraché pour de bon Encore
L’as tu fait ce rêve de vie voyante
Ma solitude s’habille dans la pièce d’à côté
Mon coeur comme seule valise
Je déménage du chagrin pour un printemps
Dans les couleurs aquarellées de ses yeux
Par sa peau je mue, par ses mains je sculpte
Par ses nerfs je vibre et ses os me broient
Et ses seins comme des yeu