C’est le temps de la lumière
Meurt hier soir de printemps
J’erre dans la rue bestiale
Le bétail dort là dedans
Vie étrange 13 heures de la nuit
La lune luit je suis mon ange
De la mort de la destruction
Rêve d’une solution et consorts
Pour dormir à l’abri loin du froid
Je me fraie un chemin digne
Une cage d’escalier ouverte
Je vais au palier poser mon bagage
Je m’allonge là pour aujourd’hui
Enduit de douleur de la vie de rue
Je soulève un instant mon vers
Partager quelques mots à l’univers
Je chante les Homme bris les Hommes libres
Pour le grabuge pour la gamberge
Je chante pour l’amour inconditionnel
Un autre pays dans le théâtre de la banalité.
Olivier Gatin
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