**Demain**
Couplet 1
Hier je me promenais, sur mon quotidien,
Je pensais que j’allais , retrouver demain,
Je ne suis pas celui qui fuit……….,
Mais je me suis retrouvé aujourd’hui !
Refrain
Il me semble que si j’aime le futur,
Sans risquer d’escalader ma déconfiture,
Je devrais passer par …..
Une moitié qui brise
Moi, qui étais beau joueur éphémère,
Moi, qui méprisais les baisers au goût amer,
Me voilà un vendredi soir au boût de mon terroir,
À rêvasser sur des futûrs si clairs dans ma mémoire.
Un scénario me tourmente l’esprit,
Et si elle s’était jettée dans les bras d’un autre mal autrui?
Et si ma douce colombe ne rêvait point de moi la nuit venue?
Trois couleurs
Le Bleu.
Celui de toute cette eau appelée l’océan,
Cette vaste étendue d’eau et de sable blanc,
Abritant des poissons, des coraux et du sel,
Rejoint à l’horizon celui plus doux du ciel,
Recouvert de taches blanches ou bien d’un voile gris,
Il est parsemé de points blancs quand vient la nuit,
Là où se croisent toutes sortes de volatiles,
Au-dessus de nos têtes peut-être nous observe-t-il.
Le Bleu.
LA SINGULARITE HUMAINE
Ta race m’intrigue profondément
De ton physique t’es pas prédominant
Pourtant tu semble prééminent
A l’endroit de tout autre être vivant
Physiquement chaque espèce a sa singularité
Laforce la vitesse ou même la ténacité
Allant des insectes au gros canidés
Chacun est maître dans sa spécialité
Toi tu est si fragile, sans corne ni fourrure
Pourtant depuis des générations tu perdure
Tu as dompté les p
Aléa Jacta Est
Les scélérats, ses lauréats, des rats de l’orée,
Plus attirés par l’or que les scellés Sailor et Lula,
Advienne que pourra,
Aléa jacta…
Dans l’ombre des tours ils se prélassent,
À coup de passe-passe, se hissent les messes basses,
Préface pour nos faces de leurs idées salaces,
Pour mieux nous la mettre dans le Ass Ass,
Les rois trinquent, et nous, nous troquons notre froc,
Dans leurs calices, du p
L’imagination
Quand j’étais un enfant, A l’orée de ce bois,
J’avançais tel un faon, Scrutant tout, aux abois…
M’arrêtant de marcher, Assis sur le chemin,
J’essuyais de mes mains Mes deux pieds écorchés.
Furent ainsi écartées Toutes les prédations…
Quelle belle liberté Que l’imagination.
Où donc est la clairière Que l’on m’a tant vanté ?