Chaque fois que l’on se rencontre
Contre ma peau, mon cœur bat et t’appelle
L’amour est sublime, subtil, subaquatique parfois
Pour le noyé de chagrin
Pendu avec du crin de cheval de Troie
Je me cache derrière mes sentiments si forts
Fort à parier que l’on s’arrêtera à l’amitié
Et la vie suivra son cours
Courir après le succès, la gloire, le pouvoir, l’argent et puis un jour
La mort nous arrêtera e
La recherche, une espèce de patience.
Couleur de la merde le marron
Fond du problème
Noir semblerait la vision libre de l’existant.
Et autour? Rien que de la lumière
Cette faiseuse de rêve
Éloignée de la captation espérante de l’humain.
La raison de vivre se nourrit d’emblée
Du manque et siège immuablement
Sur la cause d’ici.
L’Orient
L’Orient
M’appelle
Sur l’oreiller
Les paysages
Sont tous rejoints
Par ce soleil indéfini
Chaque recoin de la découverte
Fait cavaler aujourd’hui la mémoire
Et l’envie de lier le noir à la rétrospection de genèse (!)
La facilité et le labeur vont à la chasse à buse et écorner tout bec amusé à faire perdre la drôle de guerre intérieure.
A la forêt ou l’à peu près, leurs corps inhalés par la bouche saisonnière du désir, n’ont plus de tête pour une conscience de plein air.
«Luce et Maurice» ont-ils la clef des champs? Car après coups, la Nature s’engendre autant que se meurt le devenir de l’envie.
L’illusion essentielle
Je t’ai touché, toi fille en pull bleu hiver .
J’ai longé le jeu de la joie (foi), pris la barre d’évasion.
Mais son sourire a clôt tout le doute, le mal et les méandres si anciens.
Puisque tu es là, autant recommencer, tout avoir en couleurs, oui même au fond trouble
inguérissable.
Juste ton corps, ton regard, ton sourire gomme vraisemblablement la raclure de l’individu.
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L’écrit du coeur
J’en vois des merveilles de toi, je m’émerveille je veille et me lève, je m’élève au son de ta voix.
J’envoie, et moi et mon émoi sur un sourire dans tes soupires, de la création façon passion.
L’écriture, craie qui crépite et crisse dans mon cerveau, volontier assommé par les sentiments.
Notre histoire
J’aime la manière dont tu m’as regardé quand on s’est vu. Je ne pensais pas que tu serais l’homme de ma vie. Je t’ai repoussé chaque fois que j’étais fâché. Je ne voulais pas que tu t’inquiètes pour moi.
Quand on est tous les deux tu me rends heureuse. Je me sens en sécurité dans tes bras.
Une rupture difficile
Un petit témoignage sur ma rupture amoureuse.
On s’est rencontrés par hasard. On est tombé amoureux l’un de l’autre. Au bout de quatre ans, on s’est séparés. On pensait que ça allait résoudre nos problèmes. Je ne peux pas vivre sans toi, j’essaie de t’ignorer mais je ne peux pas, ta voix me manque à chaque instant.