Inspire, expire, prend ton pouls
Douche froide, est-ce que c’est ça le monde des fous ?
Être assez belle pour être son trophée
Être trop quand il faut s’engager.
Demander du support, chercher de l’aide
Essayer de garder la tête hors de l’eau
Avoir l’impression que tout le monde me trouve laide
Parce que j’ai beaucoup de bobos
Être victime d’une maladie invisible
Devoir s’expliquer quand on semble illisible
Justifier notre absence
Afin de ne pas souffrir de notre présence
Avoir peur du changement et des gens
Avoir la boule au ventre quand il est question d’amour
Avoir peur de sa réaction face à mon passé lourd
Montre qui je suis m’effraie tant
Si on dit que l’amour sur 3 ans, je dirais que c’est faux
Qu’un an c’est assez pour se lasser de moi
Au final, je me bénis et je suis là
Démuni et triste à me demander « pourquoi moi ? »
Inspire, expire, respire, tout va bien
Tout va mal pour ceux qui pensent trop
Trop penser fait mal, car cela implique un lot
Un lot de patience et de pansements
Quand la nuit tombe,
Les anxieux se lèvent
La peur s’attache, nous serre et nous ronge
Comme si c’était la dernière nuit
Se sentir vide, quand au fond,
Notre cœur est rempli d’émotions
L’impression que jamais on ne nous comprendra
L’impression que nous sommes au plus bas
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