Ci-gît l’amertume salée des nuits d’été. Lorsque les corps s’entremêlent dans un canon inaltérable, une fanfare celte lancée à vive allure, une attaque de huns.
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C’est comme un boulet dont les chaînes auraient lâché et qui dévalerait les pavés, faisant sauter tour à tour les checkpoints et les filets d’aéronefs.
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À elle seule, la saveur de chacune de ces nuits caliguliennes suffit à cicatriser les insécurités tenaces, les rejets douloureux, les plaies lutéciennes.
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Ci-gisent ces instants qu’on souhaite rares et insaisissables. Rares aussi sont ceux qui en profitent, les veinards 💫