A la question… Verras-tu un jour?
J’ai oh bien vu qu’il n’y avait rien d’autre à voir, sinon l’expression de la vie dans la contemplation de l’instant.
J’ai fait tombé le vase
Il y eut beaucoup de bruit
Et de remarques j’ai recoller chaque bout
A l’or de mes larmes du triste mastic en vérité.
J’ai réconforté les morts
J’ai bandé l’arc vers le soleil rougeoyant.
As-tu vu le soleil rouge de l’aube sanglante?
Et bien je l’ai vu comme je l’ai attendu aussi, assis des heures a recoller les bris de mon coeur, elle avait l’allure d’une victoire, sur un milliers d’années il me semble de tourment et de vieilles morts.
Une vie que Tu ne veux pas voir! Aveuglé par la haine dans tous les hommes.
Ce monde est détestable
Mais j’y trouve du plaisir à l’être pour lui, à la lettre.
J’ai vu et revu la mer ce cimetière quand tu pleures avec les marins. Ce désert de silence enrhumé de vague blanche et parfois colérique.
Je ne suis pas dans la mort silencieuse mais le bruit et le chaos, je suis dans la rumeur.
En quelques sorte une Vedette !