Sous l’azur parfois trop gris, l’air semble pleurer,
La Terre, notre mère, commence à suffoquer.
Les glaces éternelles, larmes figées du nord,
Fondent en silence, leur tristesse est un trésor.
Les forêts autrefois, vastes poumons verts,
Brûlent sous nos yeux, victimes de nos revers.
Les océans montent, en vagues de désarroi,
Engloutissant espoir en leurs abysses froids.
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