Qu’est ce qu’il nous reste
Loin de l’océan et des promesses
Qu’est ce qu’ils nous laissent
Triste constat pour mes frères
Perdus sur le boulevard de l’oubli
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Je chanterai en mourant
Le cœur indigné par le sort
Les gens souffrent tant
Leurs griffes leurs morsures
Ne sont que les extrémités
De leur peine à vivre
J’avançais sans les voir dispar
Author: prolifik
Artiste autodidacte
www.moonz.canalblog.com
abstract hiphop
Qu’est-ce que je m’en fous dans le fond d’la salle,
Une graine dans la tête je géchar grave mon oinj
Privilège je sais pas bien l’écrire, heureusement !
[sans titre]
Je crois en l’énergie des âmes télépathiques
Je crois en la quintessence de l’être
Je crois à des choses très violentes et proches
Je crois admettre la fin pour l’oublier
Alors nous regardons dans le ventre
Et nous enlevons du ventre
Pour mettre en pot le fœtus
Et on le recouvre de formol
Pour le conserver afin de savoir
C’est simple c’est de la science
On a les moyens tout les moyens
Pour compren
Nous avons fait tout le chemin…
Texte dicté…
Petite boîte a musique merci de tourner dans le jour souffreteux. Qu’as-tu pour moi cet après-midi, pour remplir mon gouffre lourd de peine sombre? Prophétie obscure tu es le présent d’un fantôme dans ton esprit cassé. Brisé tu es .
Verras-tu un jour?
A la question… Verras-tu un jour?
J’ai oh bien vu qu’il n’y avait rien d’autre à voir, sinon l’expression de la vie dans la contemplation de l’instant.
J’ai fait tombé le vase
Il y eut beaucoup de bruit
Et de remarques j’ai recoller chaque bout
A l’or de mes larmes du triste mastic en vérité.
Ombre et lumière
Alors ça va ? On y travaille on l’voudrait bien
Bonheur d’usage
La vie, rien à s’couer, la terre est battue
Les loups sont proies, les agneaux sont organisés.
La civilisation a perdu! J’ai réussi à l’être
Oh mon dieu modèle d’individualisme,
Bon citoyen et garnement adorable.
Sauf pour elle qui n’y voit que du feu.
L’autre miroir
Me voici, théâtralement tordu assis en forme de creux de vague, j’écris
Le café, fidèle compagnon et maitre de la volonté de régner sur la page,
Tiède ! comme un fou du roi espiègle mais ivre ou directement Fou.
La certitude des ronces ? c’est sans doute qu’elles égratignent l’épiderme.
Sur la rivière nous marcherons, ce soir, mon tendre amour
Comme nous irons vers le futur promis des hommes justes
Je ne conçois ce monde sans toi sans une cause à scander.
je suis venu tranquille merde encor un carnage
L’ont-ils déjà vu, je l’ignore mais qui peut vraiment le dire !
Le clochard céleste
C’est le temps de la lumière
Meurt hier soir de printemps
J’erre dans la rue bestiale
Le bétail dort là dedans
Vie étrange 13 heures de la nuit
La lune luit je suis mon ange
De la mort de la destruction
Rêve d’une solution et consorts
Pour dormir à l’abri loin du froid
Je me fraie un chemin digne
Une cage d’escalier ouverte
Je vais au palier poser mon bagage
Je m̵