A la question… Verras-tu un jour?
J’ai oh bien vu qu’il n’y avait rien d’autre à voir, sinon l’expression de la vie dans la contemplation de l’instant.
J’ai fait tombé le vase
Il y eut beaucoup de bruit
Et de remarques j’ai recoller chaque bout
A l’or de mes larmes du triste mastic en vérité.
Category: Poetry
La ligne droite
Emprunter la ligne droite
Certains en ont tellement hâte
Mais au fond de toi
C’est pas c’que tu vois
Adrénaline et effervescence
Adorent virages et descentes
Passion et exaltation
Intenses sont les situations
Si toujours, tu fuis la plongée
Plongé, dans la plate banalité
Sera ta seul fatalité
Affalé sur ton canapé
Affairé à soustraire ta journée
A plastifier et pixeliser ta vie
Loin des courants o
J’ai de la chance
J’ai de la chance
D’avoir mon Père dans ma vie
J’ai de la chance
D’être en vie tous les jours
J’en suis également très heureux
Quelle chance j’ai
Que j’ai une bonne relation
Avec mon père
Oui, je travaille très fort
Sur notre relation
Tous les jours
De plus, je ne veux pas que notre relation se termine
Quelle chance j’ai
Que mon père a ramené
Le printemps pour moi
Enfin
J’ai aussi la chance d’avoi
Le Saint Esprit
Oui, Je suis
Je suis l’Unité des Sens
En choeur, Ils chantent Mon nom
Et Leur écho résonne dans l’Infinit de Mon être
Alors, Leur écho est Infinit
Oui, l’Écho chante que Je t’aime
Je t’aime, alors Je te laisse Être
Tu fais Sens, alors Tu es
Oui, Tu es Mon mot, la Parole du chant de l’Univers
Ô, et Je t’aime tellement
Tellement que J’oublie que Je sui
À l’ombre d’un mûrier platane ⛰️🌿☀️🌻🍇🍷
La brise effleure un beau village
La pierre dort comme un vieux sage
Un sentier grimpe entre les chênes
L’ocre des toits farde les peines.
•
Blottis contre le flanc des siècles
Les oliviers tendent leurs bras
Le parfum clair des sarriettes
Apaise les monts d’autrefois.
•
Thym, romarin, et tapenades
Cerises, figues, rigolades
À l’ombre d’un mûrier platane
Le temps s’étire et se pavane.
L’autre miroir
Me voici, théâtralement tordu assis en forme de creux de vague, j’écris
Le café, fidèle compagnon et maitre de la volonté de régner sur la page,
Tiède ! comme un fou du roi espiègle mais ivre ou directement Fou.
La certitude des ronces ? c’est sans doute qu’elles égratignent l’épiderme.
Russell
Vous marchez enfin
L’escalier vers le ciel
Lorsque vous êtes arrivé à
Ciel mon Dieu
Père ouvre la porte
Vers le ciel
Ainsi, vous pourriez entrer à l’intérieur
Là, ton père t’a donné un coton
Robe avec bordure dorée
Pour que vous puissiez changer
Dans le coton
Vos vêtements que vous portiez
Pendant la journée
A été envoyé pour laver
C’est aussi mon Père qui t’a pris
À votre chambre au parad
Il y a Trois Millions d’Années …
De Lucie l’Australopithèque à Lucie 7B l’Intelligence Artificielle






