Poème : “Dans l’âme de la nature”
Dans le souffle des arbres, un cri s’élève,
Liberté fragile, qui dans l’air s’enlève.
Sous les cieux vastes, où l’aigle danse,
Le vent porte des promesses d’espérance.
Les montagnes chantent en silence sacré,
L’horizon lointain, toujours à aimer.
Category: Poetry
Abus de confiance
Au pouvoir sont élus les décideurs
Après de belles promesses, jamais rien
Ils s’en mordent les doigts, les électeurs
Ils n’agissent pas mais aboient comme les chiens
L’envie de se battre s’est sûrement perdue
Les belles paroles préchées sont déchues
Tandis que l’état s’engraisse sur son dos
Le petit peuple ne veut plus de ses mots
Et à toute époque, les extrêmes
je suis venu tranquille merde encor un carnage
L’ont-ils déjà vu, je l’ignore mais qui peut vraiment le dire !
Noir ou blanc
Noir ou blanc, tel sera le nom de ce roman.
Noir ou blanc parce que les deux seront présent constamment.
Noir ou blanc car pour moi le gris est inexistant.
Le clochard céleste
C’est le temps de la lumière
Meurt hier soir de printemps
J’erre dans la rue bestiale
Le bétail dort là dedans
Vie étrange 13 heures de la nuit
La lune luit je suis mon ange
De la mort de la destruction
Rêve d’une solution et consorts
Pour dormir à l’abri loin du froid
Je me fraie un chemin digne
Une cage d’escalier ouverte
Je vais au palier poser mon bagage
Je m̵
Ode a l’aube en ce jour là limpide
Oui amouraché pour de bon Encore
L’as tu fait ce rêve de vie voyante
Ma solitude s’habille dans la pièce d’à côté
Mon coeur comme seule valise
Je déménage du chagrin pour un printemps
Dans les couleurs aquarellées de ses yeux
Par sa peau je mue, par ses mains je sculpte
Par ses nerfs je vibre et ses os me broient
Et ses seins comme des yeu
Les Mains Du Monde
Il y a les mains du matin,
Faites pour les câlins,
Les mains victorieuses et laborieuses,
Qui triment en secret, discrètes et ambitieuses,
Les petites mains dans l’ombre, sans nom ni visage,
Cousant nos baskets, pour affranchir leur esclavage,
Celles sur le trottoir fébrilement tendues,
Dans l’espoir en échange d’une pièce rendue,
Il y a les mains pleines d’or, blanches et hautaines,
Qui sig
Le Jeu Des Maux
Dans le jeu des maux,
Il y a les égos inégaux,
Des Golgoths au cœur glacé traînent,
Un miroir sans tain, où l’autre s’efface en peine,
Où l’écho de soi résonne, en mantra irrationnel,
Ah l’amour, ce mot flou, reflet d’un rêve irréel,
Chacun construit sa forteresse avec des murs de solitude,
L’autre n’est plus qu’un spectre, un vestige d’habitude,
Les regards se croise






