Sur les cieux grandioses
Je vois ton visage
Et sur l’arc-en-ciel
Je vois la couleur de ton corps
Sur la porte du monde
J’ai ouvert ton cœur
Avec des paroles délicieuses
La terre a ouvert sa bouche
Pour nous donner sa chaleur
Nous, les amoureux éternels
Ô Christine !
Douces comme une eau cristalline
Descendant de la montagne
Les courbes de ton corps
C’est moi qui les dessinais
Non, ce n’était pas moi,
C’était quelqu’un de plus grand encore
Ma rivière s’assèche
Car tu tardes à venir
Ma bouche, mon cœur,
Eux, clament mon amour pour toi.
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