La voile est levée, le rêve envolé, puzzle delité dans l’océan de vérité. Tes boyaux ont craché leur miel homicide sur les maux couchés quand ton doigt a pressé la gâchette du noyé. Et, l’encre jetée sur le voile du passé aux pièces rassemblées pour ne rien oublier. Purgez les écoutilles, videz les poisons, ôtez les arêtes des mots délinquants !
Et si c’était à refaire je ne (re)commencerais pas. Je ne sortirais pas, je ne céderais pas. Ni aux pressions, ni aux intimidations, ni même à la tentation. De tout mon corps je m’étalerais et résisterais, de toutes mes forces je l’agripperais aux parois de ta chair, à ta coquille molle. Je la lacérerais pour te faire succomber avec moi. Et lui, je le tuerai de te voir échapper, de devoir animer des nains affamés.
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