En observant ce grand étendu infini,
Je n’apercevais que deux couleurs,
Du bleu et du blanc.
À l’aube,
Quand je me mets à observer le ciel,
Je ne vois que du bleu foncé.
Le matin se lève,
Réveillant les nuages au passage,
Qui commence à prendre vie,
En dansant au rythme de mes pas,
Un spectacle remarquable s’offre à moi.
Quand le soleil commence à ce coucher,
Le blanc disparaît totalement,
Tandis que le bleu,
Cela vient peu à peu sombre.
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