C’est le cas de beaucoup d’hommes
De souffrir du mal d’automne
D’admirer les jolis corps
S’échouer aux bras des forts
C’est la vie des gros cadors
D’embrasser les meurtrières
Protégeant les châteaux forts
Imprenables, qu’ils disaient
Si le hasard vous prenait
Dans un tourbillon céleste
Profitez jusqu’à l’excès
Avant cruelle disette.