Tristesse
Je n’ai pas besoin de toi
Apporte-moi plutôt du bonheur
Parce que c’est le bonheur dont j’ai besoin
Mal dans ma vie
Oui, je suis désolé de me sentir grincheux aujourd’hui
C’est parce que je n’ai pas assez dormi
Oui je me suis couché très tard
J’ai enfreint certaines règles
Que mon Père a fait pour moi
Il a établi un horaire de sommeil
C’est à moi de me coucher tôt
Si je fais ça, je dormi
Je suis le thaumaturge au bord du précipice
Dont le vide myrteux a collé le regard,
J’ai traqué l’avenir, j’ai joué l’aruspice,
Mais jamais je ne vois au-delà du Midgard.
Les Nornes m’ont vaincu : mon destin se dérobe.
J’ai cherché tant et tant… Je n’ai plus de mana,
Théurgiste éreinté, j’ai déposé ma robe.
N’atteindrai-je jamais le secret Nirvana ?
Sur la rivière nous marcherons, ce soir, mon tendre amour
Comme nous irons vers le futur promis des hommes justes
Je ne conçois ce monde sans toi sans une cause à scander.
THRILLER URBAIN
Chapitre 1 : L’étagère oubliée
Le bâtiment G de l’université n’avait rien d’impressionnant. Des murs fatigués, des néons qui bourdonnaient, et une odeur persistante de vieux papier. Pourtant, c’était ici que Karim venait presque chaque soir, loin du vacarme du campus.
Il montait directement au quatrième étage — un étage peu fréquent, dédié aux archives historiques.
Echo de liberte
Poème : “Échos de liberté”
Sous l’immensité du ciel sans fin,
Le vent s’élance, libre et serein.
Les montagnes, fières et majestueuses,
chantent l’histoire de la terre précieuse.
Les rivières murmurent aux pierres des secrets,
Tissant des rêves que le temps ne fait fait.
Chaque arbre, chaque feuille, chaque brin d’herbe,
Évoque un souffle de vie sans réserve.
Dans l’ame de la nature
Poème : “Dans l’âme de la nature”
Dans le souffle des arbres, un cri s’élève,
Liberté fragile, qui dans l’air s’enlève.
Sous les cieux vastes, où l’aigle danse,
Le vent porte des promesses d’espérance.
Les montagnes chantent en silence sacré,
L’horizon lointain, toujours à aimer.