La grâce de la nuit ne suffit à calmer
La peine qui grandit dans les cœurs abîmés
Des âmes bienheureuses à qui l’on fait récit
De fables belliqueuses accaparant l’esprit.
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Seul l’instinct de survie pourrait tordre le nez
Aux diables qui complotent à la barbe et au nez
De cette masse informe et tant désinformée
Du coma puisse-t-elle un jour se réveiller.
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La lune sort à peine et s’apprête à souffler
Ses bougies de cristal pour nous faire payer
Les grandes gravités qu’on a laissées passer
Les sanglots évités qu’il eût fallu braver.
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