Habitudes
Un masque
chaque jour
enlever, remettre
dissimuler pour mieux
mentir,
avouer les larmes, sourires,
sourire aux larmes
entre les larmes
une page
un stylo
et…le
point.
Habitudes
Un masque
chaque jour
enlever, remettre
dissimuler pour mieux
mentir,
avouer les larmes, sourires,
sourire aux larmes
entre les larmes
une page
un stylo
et…le
point.
Harynton
– Diana, je vous souhaite la bienvenue dans le monde cruel de la mode, déclare Gino en me lançant un regard plein de sous-entendu dans son ensemble vert vomis affreux qu’il a cousu lui-même.
Oh ! Gino. Je savais où je mettais les pieds quand j’ai décidé d’intégrer ce cercle.
4:30 du matin, mon réveil sonne et son petit écran bleuâtre me fait plisser les yeux. Je me lève péniblement et assis sur mon lit, je regarde longuement à travers la fenêtre en forme cubique. Ma chambre plongée encore dans l’obscurité, seuls les néons des grattes-ciels de la ville, reflètent mon corps couvert de cicatrices, que j’essaie de couvrir tant bien que mal, depuis quelque jours.
Lorsque la pluie tombe, laissant des traces le long de ma fenêtre, elle emporte avec elle les souvenirs des jours passés.
Des rayons de soleil transpercent les nuages, illuminant le parquet blanc de ma chambre.
Dehors, le vent doux murmure sa mélodie, mais mon cœur demeure imperturbable,
Face au flux incessant du temps qui s’écoule.
Il faisait encore nuit. Le coq chanta. Cet oiseau vit en ville ce qui semble étonnant. Après le chant du coq on entendit l’appel prolongé du muézin à la prière matinale. Il était temps. De se lever et d’aller en voiture aussi vétuste que son propriétaire vers la mer. Il faisait beau là-bas.
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Au cœur de la ville animée de Tokyo, vit Takeshi, un jeune ingénieur passionné par les machines et les inventions. Il travaille dans une petite entreprise spécialisée dans la conception de robots pour des tâches spécifiques.
Un jour, Takeshi reçoit une mystérieuse lettre d’un ancien collègue de travail décédé.
Sous l’azur parfois trop gris, l’air semble pleurer,
La Terre, notre mère, commence à suffoquer.
Les glaces éternelles, larmes figées du nord,
Fondent en silence, leur tristesse est un trésor.
Les forêts autrefois, vastes poumons verts,
Brûlent sous nos yeux, victimes de nos revers.
Les océans montent, en vagues de désarroi,
Engloutissant espoir en leurs abysses froids.
on dit eux
je dis nous
sur les places
dans les rues
dans la lumière
dans la nuit
quelle est cette haine
crachent les dirigeants
l’appel cueille ses mots
dans le sang
là-bas il coule
et je saigne avec
je saigne là-bas
nous saignons tous ici
quel est ce sacrilège
s’indignent les puissants
nos corps déchirés sur les barbelés
ma main clouée sur les murs troués
sur les immeubles éventrés
s
Dans le murmure du vent, écoute les mille mots,
Des secrets murmurés par les hauts roseaux.
Le ruisseau qui chuchote en glissant sur les pierres,
Porte des histoires d’antan, des légendes éphémères.
Les arbres, sentinelles de nos forêts ancestrales,
Raconte en silence l’histoire des temps astraux.
Leurs feuilles dansent au rythme des saisons,
Composant un ballet, une douce chanson.