Une petite pomme poussait dans un verger. Sa peau avait une belle couleur émeraude. Réchauffée par le soleil et nourrie par la rosée, Elle grandissait vite en ces journées chaudes.
Un jour, en traversant ce magnifique verger, Cette petite pomme s’est offerte à la vue De Patrice le Curé et de Sœur Béatrice.
[sans titre]
Je crois en l’énergie des âmes télépathiques
Je crois en la quintessence de l’être
Je crois à des choses très violentes et proches
Je crois admettre la fin pour l’oublier
Alors nous regardons dans le ventre
Et nous enlevons du ventre
Pour mettre en pot le fœtus
Et on le recouvre de formol
Pour le conserver afin de savoir
C’est simple c’est de la science
On a les moyens tout les moyens
Pour compren
L’hiver sur une planète lointaine
Sous le ciel éthéré, sur une planète lointaine,
Où l’hiver danse en une valse souveraine,
Des flocons d’argent descendent en tourbillon,
Chargeant la terre froide de leur doux frisson.
La neige, telle une artiste céleste,
Peint le paysage d’une blancheur modeste.
Les arbres, tels des spectres givrés,
S’inclinent devant la magie de l’hiver apprivoisé.
Oumou, mon amour éthéré
Ois ton cœur afin d’appréhender mes feux.Unissons nos passions pour un seul vœu.Mâtin! Gente Dame que j’ai toujours prisée.Oeuvre, ébauche notre relation trèsUnique. Je t’aime d’un amour éthéré.
Tounka
#Pixabay:Aristal
Je ne suis ni riche, ni beau.
Je ne suis ni riche, ni beau. Mais pourtant, j’ai un pouvoir immense. Celui des mots. Avec eux, j’ai brisé plus d’une vie. Mes proies préférées sont ces femmes, mariées, installées dans leurs vies comme elles s’installent au volant de leurs voitures luxueuses, dans leurs sièges bien rembourrés, sentant bon la sécurité. Je pourrais vous […]
Aimer encore, autrement
Jadis, l’amour te fendit le cœur ;
Ecœurée, tes déboires sillonnèrent en chœur ;
Tâche d’affliction vécue dans la rougeur ;
A bride abattue, tu inspires chalouper dans la félicité;
Insoucieuse aux accointances, tu affrontes ta peur ;
Motivée par l’oubli, encouragée par les mœurs ;
Ethéré qualifie mes feux, je te semons au bonheur.
Pixabay: PIRO4D
La femme de l’image
La femme de l’image
Sévère, impénétrable
N’admire son jardin magique
Ni fleurs qui la saluent
Ni rose carmine
Qui fixe ses yeux tragiques
Toute fleur lui rappelle
Enfants palestiniens
Assoiffés et affamés
Blessés, tués
Par la lâcheté humaine
Par bombes qui pleuvent sur eux
Sans cesse et sans pitié
La femme de l’image
N’oublie jamais
Leurs pleurs et leurs souffrances
Marjorie, femme battue
Marjorie, dans sa vie, n’est qu’une pauvre fille malheureuse. Son père est décédé peu de temps avant sa naissance. Sa mère, une bougresse, s’est détachée d’elle rapidement. Marjorie a quand même continué à dérouler le film de sa vie. Plus tard, elle a épousé Romain par pitié et compassion. Il faut dire qu’il est un peu bancal avec son pied-bot.
Cultiver la Paix
Arrachons les plantations d’armes Pour y faire pousser des oliveraies. Elles serviront d’habitats aux colombes humaines. Et dans nos esprits, infestés de missiles meurtriers, Il faut redéfinir profondément notre façon de voir Pour que notre pouvoir d’observer nous montre Que la ligne droite se plie dans un plan d’eau.
Initialement conçue comme une recension critique de l’article de Martin Cortès, philosophe et sociologue argentin, « Contre l’ontologie de la pureté. Sur Marx, le marxisme et critique décoloniale » (in. Critique de la raison décoloniale.