Sous l’azur parfois trop gris, l’air semble pleurer,
La Terre, notre mère, commence à suffoquer.
Les glaces éternelles, larmes figées du nord,
Fondent en silence, leur tristesse est un trésor.
Les forêts autrefois, vastes poumons verts,
Brûlent sous nos yeux, victimes de nos revers.
Les océans montent, en vagues de désarroi,
Engloutissant espoir en leurs abysses froids.
La vie est une
on dit eux
je dis nous
sur les places
dans les rues
dans la lumière
dans la nuit
quelle est cette haine
crachent les dirigeants
l’appel cueille ses mots
dans le sang
là-bas il coule
et je saigne avec
je saigne là-bas
nous saignons tous ici
quel est ce sacrilège
s’indignent les puissants
nos corps déchirés sur les barbelés
ma main clouée sur les murs troués
sur les immeubles éventrés
s
Les mille mots de la nature
Dans le murmure du vent, écoute les mille mots,
Des secrets murmurés par les hauts roseaux.
Le ruisseau qui chuchote en glissant sur les pierres,
Porte des histoires d’antan, des légendes éphémères.
Les arbres, sentinelles de nos forêts ancestrales,
Raconte en silence l’histoire des temps astraux.
Leurs feuilles dansent au rythme des saisons,
Composant un ballet, une douce chanson.
Une lettre déversant mes sentiments
[Prénom de ce gros con]
Je t’écris cette lettre en ne sachant pas réellement si un jour je te la transmettrai. Vois-tu après cet adieu que nous nous sommes échangé sur le pas de ma porte je me suis retrouvée emportée par un flot de sentiments contradictoires.
D’un côté, j’accepte ton départ sans ressentir une once de peine ; de l’autre je ne cesse de penser à toi.
Pas la pluie (Impro)
Au plus près de l’inspiration, de l’écriture sonore automatique, de la poésie de l’intérieur impactée par la comète Terre.
Son non retouché.
Les Refuges Secrets de Jade
Le port de pêche de The Brightly Stars Island était un endroit pittoresque où les bateaux colorés se balançaient doucement sur les eaux cristallines. Les rayons du soleil baignaient l’endroit d’une lumière dorée, créant des reflets étincelants sur les vagues.