Chapitre 1 : L’étagère oubliée
Le bâtiment G de l’université n’avait rien d’impressionnant. Des murs fatigués, des néons qui bourdonnaient, et une odeur persistante de vieux papier. Pourtant, c’était ici que Karim venait presque chaque soir, loin du vacarme du campus.
Il montait directement au quatrième étage — un étage peu fréquent, dédié aux archives historiques.
Echo de liberte
Poème : “Échos de liberté”
Sous l’immensité du ciel sans fin,
Le vent s’élance, libre et serein.
Les montagnes, fières et majestueuses,
chantent l’histoire de la terre précieuse.
Les rivières murmurent aux pierres des secrets,
Tissant des rêves que le temps ne fait fait.
Chaque arbre, chaque feuille, chaque brin d’herbe,
Évoque un souffle de vie sans réserve.
Dans l’ame de la nature
Poème : “Dans l’âme de la nature”
Dans le souffle des arbres, un cri s’élève,
Liberté fragile, qui dans l’air s’enlève.
Sous les cieux vastes, où l’aigle danse,
Le vent porte des promesses d’espérance.
Les montagnes chantent en silence sacré,
L’horizon lointain, toujours à aimer.
Abus de confiance
Au pouvoir sont élus les décideurs
Après de belles promesses, jamais rien
Ils s’en mordent les doigts, les électeurs
Ils n’agissent pas mais aboient comme les chiens
L’envie de se battre s’est sûrement perdue
Les belles paroles préchées sont déchues
Tandis que l’état s’engraisse sur son dos
Le petit peuple ne veut plus de ses mots
Et à toute époque, les extrêmes
Personnalité
La personnalité d’une personne peut se définir comme étant la somme de l’ensemble de toutes les caractéristiques d’attitudes émotionnelles et de comportements d’une personne. Le plus souvent, cette dernière est à l’origine de la présence mais aussi de l’absence de certaines personnes dans nos vies.
je suis venu tranquille merde encor un carnage
L’ont-ils déjà vu, je l’ignore mais qui peut vraiment le dire !
Noir ou blanc
Noir ou blanc, tel sera le nom de ce roman.
Noir ou blanc parce que les deux seront présent constamment.
Noir ou blanc car pour moi le gris est inexistant.
Mes migraines ne sont que de longues errances
Qui ne mènent nulle part et puis change de sens
Sans que je sache encore où j’en étais naguère.
Mes migraines ne sont que de ces sales guerres.
L’inconscient qui parle et qui parle toujours
Et répond au conscient qui ne sait pas toujours.
Le clochard céleste
C’est le temps de la lumière
Meurt hier soir de printemps
J’erre dans la rue bestiale
Le bétail dort là dedans
Vie étrange 13 heures de la nuit
La lune luit je suis mon ange
De la mort de la destruction
Rêve d’une solution et consorts
Pour dormir à l’abri loin du froid
Je me fraie un chemin digne
Une cage d’escalier ouverte
Je vais au palier poser mon bagage
Je m̵
Ode a l’aube en ce jour là limpide
Oui amouraché pour de bon Encore
L’as tu fait ce rêve de vie voyante
Ma solitude s’habille dans la pièce d’à côté
Mon coeur comme seule valise
Je déménage du chagrin pour un printemps
Dans les couleurs aquarellées de ses yeux
Par sa peau je mue, par ses mains je sculpte
Par ses nerfs je vibre et ses os me broient
Et ses seins comme des yeu